Instalar Steam
iniciar sesión
|
idioma
简体中文 (Chino simplificado)
繁體中文 (Chino tradicional)
日本語 (Japonés)
한국어 (Coreano)
ไทย (Tailandés)
български (Búlgaro)
Čeština (Checo)
Dansk (Danés)
Deutsch (Alemán)
English (Inglés)
Español - España
Ελληνικά (Griego)
Français (Francés)
Italiano
Bahasa Indonesia (indonesio)
Magyar (Húngaro)
Nederlands (Holandés)
Norsk (Noruego)
Polski (Polaco)
Português (Portugués de Portugal)
Português - Brasil (Portugués - Brasil)
Română (Rumano)
Русский (Ruso)
Suomi (Finés)
Svenska (Sueco)
Türkçe (Turco)
Tiếng Việt (Vietnamita)
Українська (Ucraniano)
Informar de un error de traducción
Le beau est communément défini comme la caractéristique d'une chose qui au travers d'une expérience sensorielle (perception) ou intellectuelle procure une sensation de plaisir ou un sentiment de satisfaction ; en ce sens, la beauté provient par exemple de manifestations telles que la forme, l'aspect visuel, le mouvement, le son.
La distinction entre ce qui est beau et ce qui ne l'est pas varie suivant les époques et les individus. Ce que l'on entend même par sentiment du beau diffère selon les penseurs et bien des cultures n'ont pas de mot qui corresponde exactement au « beau » du français actuel.
Tout d'abord, la « feuille de boucher », un couperet servant à découper et aplanir la viande. Elle est constituée d'une lame variant de 2 à 5 mm de largeur et 10 à 20 cm de longueur ; sa forme rectangulaire la rend très reconnaissable.
On trouve aussi dans la famille des couteaux à viande le « magistrat » ou le « charcutier ». Ce couteau plus long servait autrefois à découper le jambon et le jarret en fines tranches mais il a été remplacé récemment par une machine facilitant ainsi le travail de l'artisan.